Avec Néonature offrez à vos cultures un autre mode de protection et de nutrition

Présente dans 32 pays, Néonature déploie aujourd’hui près de 250 spécialités, dont 42 sur le marché européen. En France, elles sont utilisées sur 35 cultures différentes, à commencer par les grandes cultures, en bio et en conventionnel, sur près de 15 000 ha. Suivent ensuite les cultures maraîchères et la vigne, avec 3 000 ha pour chacune, et l’arboriculture sur 1 000 ha. « Ces chiffres ont fortement progressé ces dernières années car les atouts de notre gamme sont multiples, confie Guillaume Grocq, gérant de Néonature et de DAE (Développement pour une agriculture environnementale) qui fabrique ces produits. Au travers des programmes de nutrition et de protection induite que nous proposons, en fonction du contexte pédoclimatique de chaque parcelle, nous visons non seulement une réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires de synthèse et des engrais chimiques mais aussi une augmentation des rendements physiologiques et agronomiques des cultures visées. »

Pour Néonature, plus question de penser ‘un pathogène, une molécule phyto’ ou ‘une carence, un engrais’. « Le raisonnement doit évoluer et implique un changement de méthode, poursuit-il. Là, l’enjeu est, en premier lieu, de chercher à mieux comprendre la biologie du sol et des plantes pour étudier leur symbiose. » Néonature propose des itinéraires complets et forme, si besoin, les techniciens de culture et/ou les agriculteurs en les accompagnant, sur le terrain, au fil de la campagne.

Gains de rendement, rapidité de levée... et plus encore

La gamme de Néonature se décline en six familles dans lesquelles on trouve des physio-fortifiants, des physio-stimulants, des agents nutritionnels ou encore des Snub, des substances naturelles à usage biostimulant. Forte de 15 années d’expérimentations, l’entreprise a de quoi séduire les futurs utilisateurs, parfois un peu perdus face à une offre pléthorique.

Un essai mené durant quatre années sur 50 ha de blé tendre répartis dans les différentes régions de France, montre que l’utilisation de Brogan (conditionneur de sol à base d’acide fulvique, d’azote et de phosphore) accélère et homogénéise la levée des cultures, réduit la verse et permet à la parcelle d’être plus verte : entre 5 et 25 % selon la dose appliquée. Sur maïs, l’association de deux physio-stimulants, Céréalyx + Neotria, génère des gains de rendement pouvant atteindre les 13 q/ha, bien plus qu’un biostimulant classique.

Autre exemple : sur tournesol. Un essai conduit sur dix parcelles durant dix ans avec Bomosum, une spécialité composée de bore, molybdène, acides aminés et hormones, montre un gain moyen de rendement de 2,5 q/ha pour une dose de 1 l/ha au stade allongement bouton floral, et de 4,5 q/ha pour la dose de 2 l/ha épandue au même stade. « Dans un contexte où de plus en plus de molécules de synthèse sont retirées du marché, disposer de spécialités comme les nôtres est un réel plus, précise Guillaume Grocq. Sans oublier qu’à la clé, il y a aussi une réduction des IFT. »

Pour en savoir plus, contact@neonaturefrance.com